lundi 20 avril 2009

des jeunes toqués





Je goûte, tu goûtes, vous goûtez !


Mais qu'est-ce que vous avez fabriqué !


Un challenge attendait les enfants mais aussi pour nous :

Comment animer un atelier de cuisine avec 30 élèves de CM1 (de la ville de Paris)




Habillés de haut en bas, tablier, calot…

Après un petit cours hygiène : (pourquoi se laver les mains)






Ils se sont vite attribués du matériel de cuisine pour se mettre au travail et ça n’a pas chômé

Certains ont épluché et taillé les fruits et légumes

D’autres on mit la main à la pâte
















Salade de fruit
Crumble
Gâteau de grand-mère
Sablé
Gâteau au chocolat
Gâteau aux griottes
Concombre
Taboulé
Feuilletée au knack
Feuilletée aux fromages
Mini tartelette kiwi fraise citron
















Sous la houlette de Jérôme,


Ces trois journées de cuisine furent joyeuses aux point que certains ..........


se sont trouvé des vocations d'animateurs

samedi 4 avril 2009

le permis d'exploitation obligatoire

petit mot législatif.......


A compter du 1 avril, toute personne qui souhaite reprendre ou créer un restaurant doit détenir le permis d’exploitation afin de pouvoir servir des boissons à sa clientèle dans le cadre des repas.

En effet, l’article 23 de la loi du 31 mars 2006 a instaurée l’obligation de suivre une formation spécifique pour toute personne déclarant l’ouverture, la mutation, la translation ou le transfert d’un débits de boissons à consommer sur place de deuxième, troisième ou quatrième catégories ou à toute autre personnes déclarant un établissement pourvu de la petite licence restaurant ou de la licence restaurant. Ce même article prévoyait que cette obligation pour les personnes déclarant un établissement pourvu de la petite licence restaurant s’appliquait à l’issu d’un délai de 3 ans à compter de la promulgation de la loi. Cette loi sera promulguée le 31 mars et publié au journal Officiel du 2 avril, donc elle entre en vigueur au 1er avril 2009 pour les restaurateurs.

Les débitants de boissons sont tenus de respecter cette obligation de suivre une formation depuis le 17 janvier 2008.

Toute personne souhaitant reprendre ou créer un restaurant devra suivre un stage de trois de formation, ou d’une journée de remise à niveau s’il peut justifier de dix ans d’exploitation de la licence. A L’issue de cette formation le professionnel se verra remettre un permis d’exploitation valable pendant 10 ans. Passé ce délai, il devra alors suivre une formation de mise à jour des connaissances d’une durée de six heures afin de prolonger le permis pour une nouvelle période de 10 ans.

a mon avis....un bon début....mais a besoin de faire plus...

jeudi 19 mars 2009

une cuisine centrale.....

. Toute une histoire

Localisation : C.H.U Jean Minjoz à Besançon, 3 bd Alexandre Fleming





Le pourquoi :

pour faire face à l'évolution des réglementations sanitaires d'une part et à l'évolution des besoins d'autre part, le CHU de Besançon a décidé la construction d'un bâtiment regroupant à la fois la cuisine centrale et les archives médicales d'autre part dont la conservation très normée est obligatoire, peuvent accueillir 1 100 mètres linéaires de rayonnage environ, ont été installées dans un local en sous-sol de la cuisine .

Programme de l'opération :

Construction des archives médicales, local de rangement de 1 250 m² environ pouvant recevoir 1 100 mètres linéaires de rayonnage.
Construction de la cuisine centrale d'une surface de 2 000 m² environ permettant la fabrication de 6 500 repas par jour.
Coût de l'opération : 5,6 millions d'Euros TTC



Calendrier : démarrage des travaux en : juillet 1996 et livraison en septembre 1997.
Résultat en 2009

L'unité de production culinaire, composée d'une centaine de personnes, fabrique en moyenne 6500 repas par jour. Ces repas sont distribués en liaison froide car l'UPC dessert, 6 jours sur 7, uniquement pour le déjeuner, trois restaurants du personnel (deux dans les hôpitaux + celui de l'école d'infirmières), ainsi que tous les repas des patients, 7 jours sur 7.

Et en quelques chiffres

Production moyenne:

6.500 plateaux repas par jour soit plus de 2.400.000 plateaux
208.000 litres de potage par an 460.000 crème vanille par an
260 tonnes de légumes par an 100 tonnes de viande par an
36 tonnes de volaille par an 30 tonnes de poisson par an
36 tonnes de charcuterie an 180 .000 bouteilles de lait an

Projet

Après l’agrandissement et le regroupement des hôpitaux de Besançon, et de la restauration du personnelle, création de cuisine satellite pour reconditionner les plateaux repas avec des assiettes sous cloches….pour un service personnaliser à l’ancienne…mais aussi..

Pour une meilleure perception culinaire de la restauration pour les malades
Pour une économie véritable sur les assiettes et barquettes non recyclables

Notre visite…..

Accueillis par ces dames du service qualité, petite réunions de présentation, puis séance d habillage, nous fumes convié à prendre connaissance de la réalisation des repas qui sont servis au quotidien en suivant le principe de la marche en avant (de la réception du produit à l’étiquetage et départ du repas servis)

La visite commence donc par le quai de livraison des marchandises qui arrivent de chez les fournisseurs






une des reserves










le quai de receptions





C'est le point de départ de toute démarche qualité. De ce fait, le responsable du magasin doit contrôler systématiquement toutes les marchandises livrées : la date limite de consommation, les températures, la DLUO, l'état des conditionnements…

Après la réception des marchandises, le stockage. On doit impérativement retrouver sur chaque produit décartonné les informations de traçabilité, les dates limites de consommation ou d'utilisation. Le stockage doit se faire le plus rapidement possible pour limiter les risques de la rupture de la chaîne du froid dans la zone prévue à cet effet. Le responsable du magasin assure la rotation des stocks suivant la méthode FIFO (first in, first out, premier entré, premier sorti). Mais il y a un stock d'alerte minimum

Prétraitement, préparations froides

Le prétraitement des matières premières consiste en la mise à disposition des denrées composant une recette donnée.
Il s'agit de toutes les opérations de déboîtage, désenssachage, déssouvidage et de déconditionnement des emballages secondaires. Les denrées prétraitées sont stockées sur échelles ou bac suivant les volumes et les recettes.




Le stockage des échelles ou bac est différent selon qu'il s'agisse des denrées suivant un traitement thermique (production chaude) ou pas (production froide).
Ces opérations sont à la charge de l'équipe des productions froides et sont pratiquées au plus tard à J-1. Dans le secteur des préparations froides, on fabrique toutes les entrées, crudités, charcuteries ainsi que les desserts. Dans cette zone seront aussi pratiquées les opérations de tranchage telles que les pâtisseries surgelées, les pizzas, les quiches…
La fabrication doit être ordonnancée dans le temps, c'est-à-dire que la journée doit commencer par la fabrication la moins contaminante vers la plus contaminante. Les opérations sont systématiques entre les différentes préparations. Avec comme matériel la thermoscelleuse operculeuse (qui emballe, pèse automatiquement et écarte les portions mal dosées)












Les préparations chaudes

La zone de préparations chaudes concerne tous les aliments composant une recette subissant un traitement thermique. La production est organisée suivant un planning de fabrication et un plan de production. L'ordonnancement de fabrication permet de respecter le temps de refroidissement réglementaire et d'éviter une accumulation de produits finis devant les cellules de refroidissement.
la cuisine chaude, avec la cuisson à cœur, à pour matériel : une marmite "mélangeur agitateur" (350 litres), la portionneuse (crème, potage ,viandes , légumes ) avec operculage et thermoscellage, et étiquetage automatique des sauteuse multifonctions transportables (200 litres), les four combi-steamer (cuisson à air pulsé, à la vapeur, mixte, sous vide, …), et les cellules de refroidissement rapide

















Le tranchage des viandes cuites est à la charge des agents de productions chaudes. Ces opérations sont dédiées au secteur tranchage.
Le refroidissement rapide respecte la réglementation, il est opéré de telle manière que leur température à cœur ne demeure pas à des valeurs comprises entre +63°C et +10°C.







Après refroidissement, ces denrées sont conservées dans une enceinte dont la température est comprise entre 0°C et +3°C. Les agents de production ont le devoir impératif d'échantillonner systématiquement tous les plats qu'ils préparent. L'échantillonnage est double, un en production et un au plus près de la distribution.

Comme La cuisine centrale fonctionne selon le principe de la liaison froide, Ils sont dans un second temps portionnés, dressés, comptés, puis transportés vers les différents sites de l’établissement .













Les repas sont remis à température dans les unités de soins grâce à des chariots repas équipés d´un pont thermique: pour un même plateau, les chariots chauffent d´un côté (dîner, potage) et refroidissent de l´autre (salade, crème, yaourt).



Après deux heures de visite, un peu courte pour tout découvrir, nous fîmes un débriefing très ouvert sur le sujet

‘’ qui désire travailler dans ce type de structure de travaille ‘’




et les réponses fut surprenante ……

mardi 10 mars 2009

Nouveau site web du CCC FRANCE


Le CCC France à ouvert son nouveau site web. Moderne, plus attrayant, plus dynamique, navigation plus facile, ce site est pour vous, une source d'informations et de données très utiles pour votre métier.

Cliquez sur http://www.ccc-france.fr

Pensez à faire adhérer vos structures si elles sont en gestion directe. Vous aurez des tas d'avantages et un accès à des données plus complètes.

samedi 14 février 2009

visite d un salon professionnelle





Vive le Sirha 2009 !

Malgré les deux heures de bouchons à l’entrée du salon

Le Sirha fait la tendance mondiale de la restauration

du 24 au 28 janvier 2009 - Eurexpo Lyon – France

Inscrit dans le calendrier des lancements de produits et matériels , Sirha présente

une offre inégalée aux chefs, aux acheteurs, grossistes, décideurs de toutes les

restaurations et de toute l’hôtellerie… venus du monde entier pour ce rendez-vous d’affaires exceptionnel.

2000 exposants et marques (dont 430 internationaux) sont attendus sur cet événement majeur.

Des compétitions internationales prestigieuses pour découvrir les patrimoines

gastronomiques mondiaux

Le Bocuse d’Or, la Coupe du Monde de la Pâtisserie, l’ International Caseus Award et le Mondial du Pain « Goût et Nutrition », sont des compétitions de haut niveau qui dévoilent les meilleurs jeunes talents mondiaux et laissent libre cours à la créativité et aux patrimoines gastronomiques du monde entier.

Les meilleurs chefs mondiaux s’y retrouvent, les tendances mondiales se font là ! des sélections continentales ont permis d’élargir le nombre de pays participants au Bocuse

d’Or et à la Coupe du Monde de la Pâtisserie et d’élever encore le niveau des compétitions.

On a goûté des produits et des saveurs en provenance du monde entier

Touchez, goûtez, testez des produits comme nulle part ailleurs…

Produits nationaux ou exotiques, artisanaux, d’appellation ou industriels, de l’ingrédient brut au produit pré-préparé, prêt à cuire voire tout prêt, les professionnels de la restauration sont certains de trouver au Sirha les produits qui répondront à la fois à la culture et aux habitudes nutritionnelles et de restauration de chaque pays. Tous ces produits viennent enrichir leur offre pour le plus grand plaisir de leurs clientèles.

Exclusivité 2009: et on la vue ….. Food Studio

Cinq comptoirs tendances, animés par des professionnels, mettent en scène les dernières

innovations en matière de restauration, art de la table, caféterie, boulangerie et pâtisserie-confiserie.

Ces espaces donnent la pleine mesure des dernières évolutions des modes de consommation et forment un parcours découverte interactif.

Résultat

le sirha est une Source d’inspiration sans pareil, lieu de partage d’expériences pour toutes les professions, Sirha ouvre de nouveaux horizons pour tous les moments de la restauration à ne pas louper.



jeudi 12 février 2009

Clip Gastronomique

Ce clip gastronomique sur le thème des Œufs en meurette, est particulièrement réussi.
à visionner relax !
Chef : Daniel STEYER - Moyens techniques Espace Cuisine Création.


dimanche 8 février 2009

fromagerie de pierrefontaine-les -varans

Fromagerie de Pierrefontaine-les-Varans: l’ancien et le moderne

Avec 34 producteurs, 600 tonnes de comté par an, la fromagerie allie savoir-faire, particularisme

(sa coopérative spécialement dédiée au ramassage du lait) et innovation.

Notre visite de la classe cgc.. nous a permis de voir en action , l ensemble le fabrication du comté ainsi les salles d affinages et de l’appareil d’aide à la manipulation des meules qui atténue la pénibilité du travail.

Sa particuliarité est :Son osmoseuse, l’une des rares en France, qui retire la moitié de l’eau du sérum issu de la

fabrication du comté. Ainsi rendu plus digeste, il est utilisé pour l’alimentation de la porcherie voisine livré par un véritable pipeline du producteur au consommateur (porcins)

quelques chiffres de l entreprise

Dénomination

SOCIETE COOPERATIVE AGRICOLE DE FROMAGERIE LA FUITIERE DE PIERREFONTAINE - OUVANS

Adresse du siège


25510 PIERREFONTAINE LES VARANS


Identité / Activité

Forme juridique

Capital

99 480 Euros

Immatriculation

10/2002

Activité (APE)

1051C - Fabrication de fromage

Effectif

3 a 5 salariés

Etablissements

2

Proc. collective

non

éléments financiers

Exercices clos le

31/12/2007

31/12/2006

31/12/2005

Chiffre d'affaires

3 440 402 €

3 205 424 €

3 352 473 €

E.B.E.

3.49 %

4.4 %

3.37 %

Résultat net

63 045 €

76 257 €

47 281 €

petit histoire du comté

La fabrication

Arsure - BarocheLe lait devant être travaillé dans les 24 heures, le Comté est fabriqué tous les jours de l'année. Le Comté se fabrique donc 365 jours par an - 366 les années bissextiles.

La fruitière est l'atelier où les producteurs rassemblent leur lait pour le faire fructifier en Comté. En général de nature coopérative, cette forme originale d’organisation villageoise est née il y a 8 siècles. Ces valeurs de solidarité et de partage n’ont jamais été abandonnées, comme n’ont jamais été abandonnés les gestes, les traditions artisanales qui font du Comté ce grand fromage.

Souvent située au coeur du village, la fruitière (il en existe 170 réparties sur tout le Massif jurassien) reçoit chaque jour le lait des exploitations alentour. La méthode de fabrication du Comté n'a pas changé depuis des siècles. Son but est d'obtenir un fromage de garde donc de grande taille et peu humide tout en préservant la flore naturelle du lait cru, source de richesse gustative. Elle comprend plusieurs étapes :

> Maturation
Chaque matin, dans sa fruitière, le fromager écrème partiellement le lait, le chauffe à environ 30°C dans de grandes cuves en cuivre (obligatoires) et le laisse « maturer » une demi-heure. Les additifs et colorants sont strictement interdits.

> Caillage
Il ajoute ensuite la « présure » élaborée à partir de caillette de veau et de petit lait de la veille pour faire cailler le lait : il se forme une masse de caillé dans laquelle est emprisonné le petit lait.

> Décaillage
A l'aide d'un tranche-caillé, le fromager va découper le caillé en petits morceaux de la taille d'un grain de riz qui vont se séparer du petit lait. Puis, il le chauffe progressivement jusqu'a environ 55° pour « ressuyer » les grains, c'est à dire en extraire la partie liquide.

> Soutirage
Lorsque les grains ont atteint la bonne consistance, le contenu de la cuve est envoyé dans des moules perforés qui laissent s'écouler le petit lait et permettent de recueillir le caillé.

> Pressage
Après avoir placé sur le talon de chaque fromage une plaque verte de caséine qui indique la date et le lieu de fabrication, le fromager met les moules dans une presse. Les fromages « en blanc » seront démoulés le soir ou le lendemain matin et emmenés en cave où commence le préaffinage.

> Préaffinage
Il est généralement réalisé à la fruitière et permet d'assurer la cohésion des grains de caillé. Les fromages sont conservés entre 10 et 15°C pendant 3 semaines, avant de partir pour un long séjour dans l’une des caves d’affinage du Massif

L'affinage

http://www.d-klik.net/annuaire-cigc/photo.php?id=Pour prendre du goût, le Comté prend son temps. C’est dans le silence et la pénombre de la cave que le Comté va vivre sa seconde transformation et fera l’objet de soins attentifs favorisant le développement organoleptique qui s’opère naturellement au fil des mois. Affiner, c’est savoir amener un fromage à maturité.

Les fromages, placés sur des planches d'épicéa, sont régulièrement salés, frottés avec une solution de saumure appelée « morge » et retournés. Grâce à ces soins, la croûte apparaît, la texture de la pâte initialement granuleuse et élastique devient fine et souple. Le goût, évoquant le petit lait au moment du démoulage, s'enrichit progressivement. Au terme de ce séjour en cave (de 4 mois minimum jusqu’à 18, voire 24 mois), chaque Comté aura acquis une « personnalité » qui se traduira par une texture, une couleur et une palette aromatique unique.

En fonction des qualités du fromage et du but recherché, l'affineur peut utiliser successivement différents types de caves : des « caves chaudes » (de 14 à 19°C) et des « caves froides » (moins de 14°C).
Le passage en « cave chaude » favorise la formation des yeux (trous) et de certains types d'arômes. En « cave froide », la transformation du fromage est plus lente et les arômes développés différents.
Les ferments du lait cru, toujours présents dans le fromage, influencent son évolution. En fonction de la qualité du lait de départ, on obtiendra donc des fromages différents, même en les affinant exactement de la même façon.

Le Massif du Jura compte une vingtaine de maisons d’affinage ; chacune, selon son site, son ambiance de cave et son tour de main, apportant au Comté une méthode d’affinage qui lui est propre et adaptée au fromage qui lui a été livré.

Le contrôle : bande verte ou bande brune ?

http://www.d-klik.net/annuaire-cigc/photo.php?id=Chaque Comté qui sort de cave est entouré d'une « bande de marquage » verte ou brune qui traduit sa qualité. Elle est apposée par l'affineur qui note chaque meule en s'appuyant sur différents critères parmi lesquels le goût est le plus important.
Les fromages notés de 15 à 20/20 reçoivent une bande verte « Comté extra » et ceux notés de 12 à 15, une bande brune "Comté". Les fromages dont la note est inférieure à 12 n'ont pas droit à l'appellation et sont généralement utilisés pour fabriquer des fromages fondus.

La notation des Comtés sanctionne le goût mais aussi l’aspect physique de la meule. Ainsi, une bande brune peut sanctionner un léger défaut d’aspect sur un fromage par ailleurs excellent. « Vert » ou « brun », tous les deux sont d’authentiques Comtés dont l’âge minimum est de 4 mois. La couleur de la bande n’a aucun rapport avec l’âge du fromage ni avec une typologie de goût.

Un jury de professionnels se réunit régulièrement, teste des échantillons prélevés à la sortie des caves d'affinage et contrôle que les bandes sont correctement attribuées.

> Les critères > Base de notation
- Goût 9
- Pâte 5
- Ouverture 3,5
- Croûtage 1,5
- Forme 1
> Total 20 points